Les enfants à qui on fait la lecture tous les jours dès la naissance obtiennent de meilleurs résultats sur le plan du langage, de l’alphabétisation et des tests cognitifs à l’âge préscolaire et scolaire.
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Les enfants à qui on fait la lecture tous les jours dès la naissance obtiennent de meilleurs résultats sur le plan du langage, de l’alphabétisation et des tests cognitifs à l’âge préscolaire et scolaire.
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En 2016, 28 % des élèves de 3e année et 19 % de ceux de 6e année de l’Ontario n’atteignaient pas les normes de lecture provinciales.
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Une étude américaine réalisée en 2018 a établi que seulement 14 % des parents font la lecture au moins 15 minutes à leurs enfants tous les jours à compter de la naissance.
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des adultes du Canada éprouvent certaines difficultés en matière de littératie en santé, qui compromet leur capacité de comprendre les ordonnances, les fiches de rendez-vous ou les conseils de santé.
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Association canadienne de santé publique, 2018.
Le pourcentage d’élèves qui ont de faibles compétences en lecture est passé de 14 % à 18 % depuis 2018.
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des élèves canadiens atteignent un niveau de lecture suffisant pour leur permettre de comprendre des textes longs et de procéder à une évaluation critique de multiples sources d’information.
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Les enfants qui lisent régulièrement sont beaucoup plus susceptibles d’avoir des parents qui lisent eux-mêmes de cinq à sept jours par semaine. Ce lien fait ressortir toute l’importance des comportements de lecture des adultes pour façonner le goût de la lecture chez les enfants.
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des adultes canadiens éprouvent d’importantes difficultés à comprendre les textes écrits dans leur quotidien.
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Une plus grande exposition aux livres et au vocabulaire entraîne une augmentation importante de la préparation à la scolarisation.
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Les enfants à qui les parents ont souvent lu des livres à l’âge de cinq ans ont presque une demi-année d’avance en lecture à l’âge de 15 ans que ceux à qui les parents ont rarement lu des livres, voire jamais.
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Une augmentation de l’alphabétisation de 1 % à l’âge adulte ajouterait 67 milliards de dollars au produit intérieur brut du Canada chaque année.
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des adultes canadiens ne possèdent pas les compétences en alphabétisation nécessaires pour réussir au Canada aujourd’hui.
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des élèves de 10e année du Canada n’ont pas le niveau de lecture de base nécessaire pour participer à la vie de la société.
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des élèves de quatrième année du Canada ont un niveau de lecture avancé, par rapport à 29 % de ceux de Singapour et de 26 % de ceux de la Fédération de Russie (26 %).
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Le Canada est au 18e rang mondial pour les lecteurs de 4e année.
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Programme international de recherche en lecture scolaire (PIRLS), 2016.
des enfants sont vulnérables dans au moins un domaine de développement à leur arrivée en 1re année, y compris le développement du langage et de la cognition.
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Offord Centre for Child Studies, Early Development Instrument, 2019
des enfants de 3e année ont un niveau de lecture inférieur à leur degré scolaire.
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Analyse de Deloitte à l’aide des données de l’Office de la qualité et de la responsabilité en éducation et du Programme international pour le suivi des acquis des élèves, 2020.
Le développement du cerveau de l’enfant est développé à
avant l’âge de cinq ans, avant que de nombreux enfants aient accès à l’éducation scolaire.
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éducatrices à la petite enfance ont suivi des séances de formation virtuelles et en salle depuis octobre 2024.
Les enfants à qui on fait la lecture au moins une fois par jour entendront 290 000 plus de mots avant l’âge de cinq ans que ceux à qui aucun parent ou proche n’a fait la lecture. Un vocabulaire oral riche acquis avant l’âge de trois ans jette les bases de l’alphabétisation.
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On estime que
plus d’un million d’enfants du Canada possèdent des compétences en lecture inférieures à leur degré scolaire
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